Ah ! Melrika ! C’est la douceur, la tendresse, l’émotivité exacerbée.
Ses nouvelles sont un régal entre légendes inventées, contes médiévaux, histoires mélancoliques.
Un mot peut éveiller en elle tout un univers qu’elle pose sur le papier avec beaucoup d’émotion.
Ce fut le cas pour la nouvelle « la tristesse d’Henri », née du mot LIT. Son imagination lui inspire souvent des œuvres presque magiques, inspirées de croyances et de superstitions populaires.
Vous n’hésiterez pas à la suivre sur les traces de cette louve si humaine, ou dans ses poèmes d’une infinie tendresse.